Tracklist :
1. Thieves
2. In The Sun
3. Don’t Look Back
4. Ridin’ In My Car
5. Lingering Still
6. Me and You
7. Gonna Get Along Without You Now
8. Home
9. I’m Gonna Make It Better
10. Sing
11. Over It Over Again
12. Brand New Shoes
13. If You Can’t Sleep
Date de sortie : 23 mars 2010
Volume Two signe le retour de l’alliance entre l’actrice Zooey Deschanel et le compositeur folk américain M. Ward. Le duo se rencontre en 2007 sur le tournage de The-Go-Getter, Martin Hynes -le réalisateur- propose à Ward -chargé de la BO- de faire chanter l'actrice, cette dernière s'en sort pas trop mal et a de plus certains talents de composition, de quoi donner des idées de collaboration… C’est chose faite en 2008 avec la sortie de leur premier album sobrement intitulé Volume One.
Ward apporte son savoir-faire de songwriter country folk et Zooey pose sa voix suave en s’inspirant des grandes balades classiques de la musique américaines. Le tandem joue la carte du rétro et du Masculin/Féminin à l’image d’un Nancy Sinatra/Lee Hazlewood sans le côté parfois épique d’un Lady Bird.
Si vous avez apprécié Volume One vous ne serez pas dépaysés, Volume Two s’inscrit parfaitement dans cette continuité.
Pour ma part, je ne vais pas mâcher mes mots plus longtemps. Imaginez vous dans la banlieue américaine des années 50, votre pelouse est bien verte, votre chemise bien taillée, vos chaussettes en parfaite adéquation avec votre pantalon beige, vous bossez environ 12h par jour et le soir vous rentrez chez vous à bord de votre Chevrolet Bel-Air. Il est 21h, votre femme a déjà dîné mais celle-ci reste dans le salon en tricotant une chaussette bordeaux, s’imaginant tout recommencer, chevauchant des licornes et jonglant avec les petits pois sans avoir peur d’en faire tomber. Elle vous regarde mastiquer un rôti délicieux en écoutant un Teppaz grésillant. Celui-ci gémit une folk mielleuse, insouciante, de la bonne grosse variété américaine destinée à donner un peu d’espoir au banlieusard moyen pour réattaquer le lendemain, et bien il s’agît de Volume Two.
Cet album reflète un cliché tout à fait ringardisé, usé à la moelle. Loin de moi l’idée d’édicter telle ou telle vision, seulement il existe des choses que l'on se doit de laisser là où elles sont, du moins, en partie. Il est bon de s’inspirer d’une époque, d’un contexte musical, à la manière de Emilie Simon avec Kate Bush ou encore Daft Punk avec Kraftwerk. Toutefois il n’est jamais de bon ton de l’imiter dans son ensemble, ou alors, on se revendique clairement ersatz.
Pour résumé ce disque, une ecmnésie amère sans aucune fantaisie.
Ward apporte son savoir-faire de songwriter country folk et Zooey pose sa voix suave en s’inspirant des grandes balades classiques de la musique américaines. Le tandem joue la carte du rétro et du Masculin/Féminin à l’image d’un Nancy Sinatra/Lee Hazlewood sans le côté parfois épique d’un Lady Bird.
Si vous avez apprécié Volume One vous ne serez pas dépaysés, Volume Two s’inscrit parfaitement dans cette continuité.
Pour ma part, je ne vais pas mâcher mes mots plus longtemps. Imaginez vous dans la banlieue américaine des années 50, votre pelouse est bien verte, votre chemise bien taillée, vos chaussettes en parfaite adéquation avec votre pantalon beige, vous bossez environ 12h par jour et le soir vous rentrez chez vous à bord de votre Chevrolet Bel-Air. Il est 21h, votre femme a déjà dîné mais celle-ci reste dans le salon en tricotant une chaussette bordeaux, s’imaginant tout recommencer, chevauchant des licornes et jonglant avec les petits pois sans avoir peur d’en faire tomber. Elle vous regarde mastiquer un rôti délicieux en écoutant un Teppaz grésillant. Celui-ci gémit une folk mielleuse, insouciante, de la bonne grosse variété américaine destinée à donner un peu d’espoir au banlieusard moyen pour réattaquer le lendemain, et bien il s’agît de Volume Two.
Cet album reflète un cliché tout à fait ringardisé, usé à la moelle. Loin de moi l’idée d’édicter telle ou telle vision, seulement il existe des choses que l'on se doit de laisser là où elles sont, du moins, en partie. Il est bon de s’inspirer d’une époque, d’un contexte musical, à la manière de Emilie Simon avec Kate Bush ou encore Daft Punk avec Kraftwerk. Toutefois il n’est jamais de bon ton de l’imiter dans son ensemble, ou alors, on se revendique clairement ersatz.
Pour résumé ce disque, une ecmnésie amère sans aucune fantaisie.
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